Pierre Flaven

Une grande pensée pour toute la famille en ce jour de grande tristesse. Nous vous présentons toutes nos condoléances. Gaëlle et Alain

Jean François se souvient encore de son séjour à Tramayes quand il était adolescent, pour découvrir ton métier et ta passion de soigner les bêtes (et les hommes). A tes côtés, il a assisté à la césarienne d'une vache, alors qu'il débarquait de la ville !! Il se rappelle t'avoir accompagné la nuit en urgence pour sauver un petit agneau encore dans le ventre de sa mère. Pierre, ces souvenirs apportent tellement de joie et témoignent que tu es dans le cœur et l'esprit de ceux qui t'ont rencontré.

Bon voyage tonton Pierre Les huîtres de Bouzigues auront dorénavant une saveur bien particulière pour moi... Je t'embrasse tendrement PS: message transmis

Oncle Pierre, Je suis bien triste et associe ma voix au chœur de l’assemblée amicale qui se recueille près de toi. J’exprime mes pensées affectueuses à Claire, Arnaud, Isabelle et François

A toi mon Frère qui aimait tant la vie, Pour toi la vie devait être joyeuse et tu aimais faire partager cette joie Aimer et partager voilà ce qui te guidait. Tu avais pris l’habitude de téléphoner le samedi matin à chacun de tes 7 frères et sœurs. 9h00 : c’était mon heure. ! Je ne saurai dire combien de temps nous avons ainsi échangé, Mais je garde un profond souvenir de ces conversations à brûle-pourpoint. Tu parlais de tes dernières lectures des philosophes, des scientifiques, quelle joie dans ta voix lorsque tu avais après moult essais, enfin compris Michel Serre « Quelle horreur ! » j’entends encore ton cri lorsque je disais m’intéresser à l'économie. « Oui te dis je, celle qui prend en compte l’Homme que professe Bernard Maris. » Ouf ! Tu étais d’accord Tonton Bernard tu connaissais. Hélas il n'était plus ! Tu me parlais avec beaucoup de fierté de tes petits enfants de leurs réussites, des nouvelles reçues des uns des autres, venues parfois de l'autre bout du monde, et de ta petite fille qui avait choisi de devenir « Artiste en Ferronnerie ». Puis on parlait jardin. Ton jardin, objet de toutes tes attentions te voyait arriver tous les matins, précédé de tes chats et tu me disais ta joie de t’y retrouver dès les premiers heures du jour. Nous échangions ainsi nos réflexions sur le temps, le bonheur de voir pousser ce que nous avions planté, semé, chacun de notre côté, avec tant d’espoir, et la joie de la cueillette aussi. Il y avait parfois des ratés. Après tout ne fallait il pas partager avec limaces, escargots …. ? Enfin tu me parlais de tes Aphorismes : brefs résumés de tes lectures où ta fibre poétique s’exprimait librement et que tu consignais dans tes précieux petits carnets. « C’est par les chants et les danses que l’homme se manifeste comme membre d’une communauté qui le dépasse L’homme n’est plus artiste il est une œuvre d’art » Adieu mon frère, qui aimait tant la vie, et que la vie n’a pas épargné, repose en Paix

En souvenir de Pierre ! Difficile de parler de souvenirs alors qu'au travers de ceux-ci, Pierre est encore tellement vivant ....; Pierre aura aimé la vie, indépendant, drôle, généreux, émotif, parfois fantasque, il aimait sa famille et tout son entourage avec une pudeur qui l’empêchait parfois d'exprimer tout son amour pour les autres. Des anecdotes du Carrignon il y en a eu beaucoup tant il aimait venir en vacances Sa vocation de véto a même, en partie, pris naissance à la ferme de Tonton Pierre et Tatan Jeanne Grand copain avec le Miaule (patois de mulet), avec Diane la chienne, avec tous les animaux de la ferme. Il empêcha le veau de la "Bocharde" de partir à la boucherie avec le soutien de tatan Jeanne Il ressuscita et réchauffa un petit poussin agressé et à moitié égorgé... Un peu moins drôle, il autopsia le chat que mémé Léonie avait mis dehors avec fracas après qu'il eut voler de la nourriture , tout ceci afin de vérifier le traumatisme crânien occasionné par la chute....... Puis il y avait aussi les premiers balbutiements de l'amour à 10 ans avec une petite parisienne en vacances. C'est tout cela qui a fait du Carrignon un lieu idyllique? pour lui? alors qu'il n'en est rien, mais tout dépend du regard que l'on porte aux personnes et aux choses qui nous entourent. Pierre repose en paix auprès des tiens et continue de faire vivre ton souvenir auprès de François, Isabelle, Arnaud, Claire, leurs conjoints, tes petits enfants , tes soeurs, tes frères, et toute la famille à qui nous présentons tout notre réconfort dans ces moments difficiles Ne pouvons nous rendre à la cérémonie nous serons présents et vous accompagnerons en pensée

Les souvenirs avec Pierre remontent ... les vêlages auxquels nous avions droit d'assister chacun à notre tour, les escapades au lac de St Point pour mes premiers apprentissages de planche à voile ... les soirées animées ... les rires , les discussions sérieuses ... la porte toujours ouverte pour un petit café après les courses au bourg de Tramayes quand j'étais de passage à la Rivière ... Je suis triste mais heureuse de ses moments partagés et gravés . Je pense bien à vous Isabelle , Claire , Arnaud et François et vous embrasse bien fort . Je regrette beaucoup de ne pouvoir être présente physiquement mais je serai avec vous par la pensée pour le dernier hommage rendu à Pierre . Tendres et sincères condoléances Catherine

Salut Pierre, Tu es le premier de la fraterie à nous quitter. Pas facile de faire une réunion de famille par les temps qui courent. Nous seront en « distanciel », pour employer un mot à la mode, mais notre peine est bien présente. Nous espérons que, partagée, elle atténuera celle de tes enfants, petits-enfants, famille et amis auxquels nous pensons beaucoup. Le coin où tu souhaites revenir a toujours ses « rhodos «  ses myrtilles, ses champignons et parfois un « coq » te passe au dessus de la tête. Nous pourrons, en nous promenant, partager avec toi un bout de « sauc.. » ou de tome. Alors, à bientôt. Catherine, Cedric, Olivier,Elodie Au revoir frangin, grosses bises Jean

Coucou tonton. C'est l'un de tes petits salopards qui t'écrit une dernière fois, malheureusement. Ca y est, tu es parti sans que je n'ai eu le temps de te voir pour que l'on puisse se raconter encore quelques conneries. Quoiqu'il en soit, j'ai passé durant ma vie des moments avec toi qui resteront gravés à tout jamais, et notamment quand vers l'âge de 9 ans j'ai failli mettre le feu à ta maison à Tramayes en voulant éclairer mon dessin ou quand toujours au même âge j'ai failli m'étouffer en allumant ta clope. Il n'y a qu'avec toi que j'ai pu passer de tels moments. Tu étais unique et tellement marrant. Je suis vraiment ravi de t'avoir connu et d'avoir eu un oncle aussi extraordinaire que toi. Je ne t'oublierai jamais. Gros gros bisous et bon voyage. Thibault

Affectueuses pensées. Nous ne t'oublierons pas et te souhaitons bon vent. Gros bisous